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Actualités en spécialité est une nouvelle série de balados produite parle Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada dans laquelle différents experts parlent d'idées novatrices en médecine spécialisée. Dans ce premier épisode, Dre Guylaine Lefebvre, animatrice, s'entretient avec Dres Teresa Chan et Monika Bilic pour obtenir des nouvelles exclusives sur le développement d'applis.

Premier épisode : Des applications en tous genres – Partie 1

La technologie a radicalement changé la façon dont les gens apprennent. Grâce aux applis, plus besoin de parcourir un livre entier pour trouver de l’information précise, validée et fondée sur des données probantes.

Ce fait a incité Teresa Chan, doyenne associée de la formation professionnelle continue à la faculté des sciences de la santé de l’Université McMaster, et Monika Bilic, résidente de première année en médecine d’urgence, elle aussi à l’Université McMaster, à changer la vocation du blogue de formation en médecine d’urgence en accès libre CanadiEM et à créer un prototype d’appli pratique pour les étudiants en médecine.

Dans cet épisode inaugural d’Actualités en spécialité, l’animatrice Guylaine Lefebvre, directrice générale, Bureau des programmes et de la mobilisation des membres du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada, s’entretient avec les deux docteures afin de connaître le défi lié au développement de l’appli et la vision qui s’y rattache, leurs réflexions sur le mouvement de formation médicale en accès libre et la façon dont la connaissance du public et la recherche de la bonne équipe sont essentielles à la création d’une appli.



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Dre Guylaine Lefebvre [00:00:00] Bienvenue à Actualités en spécialité, une série de balados en plusieurs parties qui met à l’honneur les idées révolutionnaires du monde de la médecine spécialisée. Cette série est produite par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. Nous sommes également reconnaissants envers RBC, qui a rendu ce projet possible par sa contribution en nature. Au fil de nos épisodes, vous entendrez des experts de partout au pays qui ont donné vie à leurs idées et à leurs recherches, et qui sont prêts à vous faire part de leurs découvertes pendant ce processus. Je m’appelle Guylaine Lefebvre, et je serai votre animatrice. Je suis chirurgienne gynécologue et professeure à l’Université de Toronto, et j’ai aussi été chef du service d’obstétrique et de gynécologie de l’Hôpital St. Michael’s. Je m’adresse à vous aujourd’hui à titre de directrice exécutive du Bureau des programmes et de la mobilisation des membres du Collège royal. Le plan stratégique du Collège vise à renforcer l’esprit de communauté et à encourager l’excellence. Nous savons que l’innovation médicale a une incidence de plus en plus grande sur la prestation des soins aux patients. J’espère que, comme moi, vous êtes curieux d’en apprendre plus sur nos invités. Je suis certaine que le fait de découvrir leurs expériences en primeur vous donnera l’idée de réaliser vos propres projets. Les deux premiers épisodes de la série seront consacrés au rôle des applications dans le milieu de la santé. Nos invités nous raconteront comment ils se sont lancés dans ce domaine et ce qu’ils ont appris de leurs expériences, qu’il s’agisse de réussites ou d’échecs.

Aujourd’hui, notre première invitée est la Dre Teresa Chan. À peine huit ans se sont écoulés depuis le début de sa carrière, mais cette urgentologue est déjà connue partout au pays comme une pionnière en enseignement de la médecine. Pour communiquer à grande échelle avec les apprenants et le corps professoral, Teresa adopte avec enthousiasme de nouveaux outils et de nouvelles techniques, y compris des méthodes peu traditionnelles comme les médias sociaux et les jeux vidéo. Teresa Chan est maintenant la doyenne associée de la formation professionnelle continue à la Faculté des sciences de la santé de l’Université McMaster. Notre deuxième invitée est la Dre Monika Bilic, résidente de première année en médecine d’urgence, elle aussi à l’Université McMaster. Teresa et Monika vont nous parler de l’application qu’elles ont conçue et dont le lancement est prévu au début de l’année 2022. Bienvenue à vous deux!

Teresa, vous bénéficiez d’une riche expérience en matière de technologies et d’éducation. Qu’est-ce qui vous a mené à créer cette application, et à quoi sert-elle?

Dre Teresa Chan [00:02:05] Cette application est le prolongement naturel d’autres projets sur lesquels nous travaillons. Le site canadiem.org était un petit projet émergent sans but lucratif. Il a été créé par un groupe composé de professeurs, de résidents et d’étudiants en médecine qui ont travaillé ensemble afin de mettre sur pied un blogue durable et accessible à tous portant sur l’apprentissage de la médecine d’urgence. De notre côté, nous souhaitions agir afin de contribuer aux efforts de lutte contre la pandémie. Un des principaux éditeurs du blogue nous a dit que certaines personnes aimeraient avoir accès à des ressources qui les aideraient à relever les défis de la pandémie et à s’immerger dans la matière. Nous avons fait une première ébauche d’un modèle de lutte contre la pandémie à l’aide de Google Forms. Ensuite, nous avons créé un prototype d’application qui permettrait d’avoir accès immédiatement à des aide-mémoire à l’aide d’un téléphone. Ainsi, un interne ou une personne soudainement responsable d’une victime d’accident pourrait consulter rapidement son téléphone afin de se rafraîchir la mémoire avant l’arrivée de son patient. Cela l’aiderait à maîtriser la situation rapidement, même sans l’expertise requise ou sans l’aide d’un mentor spécialisé dans le domaine. Heureusement, la situation ne s’est pas rendue là et le projet ne s’est pas concrétisé. Cependant, nous avions déjà réuni de nombreuses ressources, et nous nous sommes demandé comment elles pourraient servir. C’est à ce moment que Monika et toute son équipe de joyeux étudiants sont entrées en jeu. Ils se disaient que le contenu réuni pouvait facilement être retravaillé pour s’adresser aux étudiants en médecine. Nous avons donc travaillé dans cette direction et, comme les étudiants adorent les applications, nous voulions absolument que le projet ait cette forme.

Dre Guylaine Lefebvre [00:03:57] Monika, vous êtes une résidente de première année en médecine d’urgence. Où trouvez-vous le temps de participer à ce projet? Qu’est-ce qui vous motive à le faire?

Dre Monika Bilic [00:04:10] Je crois que ça revient à ce que la Dre Chan a dit. En effet, une grande partie du travail avait déjà été accomplie grâce à la version initiale de l’application. De plus, nous avons travaillé en équipe. Nous avons pu diviser les tâches et réorienter le matériel afin qu’il soit destiné à des résidents et à des étudiants plutôt qu’aux médecins membres du personnel. Nous n’avons pas eu à chercher l’information un peu partout et à partir de zéro. Ce qui a tout changé, c’est d’avoir pu travailler avec du contenu existant. Nous avons aussi remarqué que les étudiants avaient de la difficulté à trouver rapidement l’information dont ils avaient besoin pendant leur quart de travail en raison de l’énorme quantité de ressources qui existent. Par exemple, face à un patient qui éprouve des douleurs thoraciques, il faut savoir rapidement quels diagnostics doivent être éliminés. Pour filtrer toute l’information disponible, de nombreuses recherches dans Google ou UpToDate étaient nécessaires. Cette lacune dans le corpus médical était très intéressante pour nous, car nous avons vu qu’il existait un besoin pour de l’information concise et efficace à l’intention des étudiants en médecine et des résidents. En plus, créer l’application était presque une façon d’étudier, car nous avons passé en revue de l’information pertinente en lien avec notre domaine d’étude et d’intérêt. Nous avons fait d’une pierre deux coups.

Dre Guylaine Lefebvre [00:05:26] Ça a bien du sens. Teresa, est-ce ainsi que vous fonctionnez? Vous reconnaissez un besoin et créez du contenu pertinent qui peut être utilisé à diverses fins? Cela faisait-il partie de vos considérations pour ce projet?

Dre Teresa Chan [00:05:44] Lorsqu’on souhaite contribuer au monde de façon positive, on doit agir en gardant en tête nos utilisateurs finaux. Pour un professeur, il s’agit des étudiants; pour un médecin, des patients. En tant que meneur, il faut penser aux gens que l’on guide et aux façons de répondre à leurs besoins. Je pense qu’une bonne partie de tout cela vient naturellement, et qu’il faut consulter les gens pour savoir ce qui leur pose problème. On sait que les gens utilisent de plus en plus UpToDate et DynaMed, mais c’est surtout parce qu’il n’y a pas de meilleure option gratuite. Nous sommes témoins d’un mouvement qui vise à ouvrir l’accès à l’apprentissage médical, et ce mouvement annonce une augmentation massive des ressources sur les soins intensifs en médecine d’urgence créées par des médecins, pour des médecins. Je crois à ce projet, mais je pense aussi que sa viabilité est un enjeu à considérer. Nous devons nous assurer que le projet pourra se poursuivre à long terme afin qu’il en vaille la peine. Beaucoup de mes collègues, qu’ils travaillent en éducation ou sur le terrain, souffrent d’épuisement professionnel. Nous essayons de faciliter l’accès à la formation de différentes façons. Par exemple, nous pouvons essayer d’intégrer des articles de blogue à un programme de formation asynchrone. Dans cet ordre d’idées, les résidents peuvent compter sur la plateforme du projet ALiEMU, qui regroupe du contenu provenant de blogues afin d’en faire des modules d’encadrement gratuits et à accès libre. Les apprenants peuvent ainsi apprendre par eux-mêmes et accumuler des badges pour les modules terminés.Je pense que ce contenu doit être épuré encore davantage afin que les résidents puissent aller plus loin. Par exemple, un article de blogue n’est probablement pas suffisant pour les résidents, mais si on l’intègre à une application et à un système de gestion de l’apprentissage, et qu’on s’en sert à l’université, je pense que son contenu peut être très utile. Je crois aussi que c’est l’avenir, car nous entrons dans une ère définie par une énorme quantité de contenu disponible. Nous devons donc être efficaces, et plus de personnes doivent se consacrer à filtrer l’information existante.

Dre Guylaine Lefebvre [00:07:44] Ce sont de véritables perles de sagesse. Le contenu est la ressource la plus précieuse, et il faut le rendre disponible de plusieurs façons. Dites-moi, quels sont certains des défis auxquels vous avez fait face au moment de trouver l’idée de créer cette application, et comment les avez-vous surmontés? Monika, puisque vous faites partie du public cible de l’application et que vous avez contribué à sa conception, pourriez-vous nous dire comment vous êtes arrivée à cette brillante idée? Que recommanderiez-vous pour surmonter certains obstacles?

Dre Monika Bilic [00:08:17] En tant qu’étudiante, reconnaître l’existence de ce besoin n’était pas très ardu. Le défi n’était pas vraiment de trouver l’idée, mais plutôt de la transformer en une véritable application fonctionnelle. Personnellement, je n’avais pas beaucoup d’expérience en création d’application ou en conception d’interface utilisateur. Ça a été difficile au début, de réfléchir à des moyens pour que notre idée devienne réalité. Plutôt que d’essayer d’apprendre à programmer, nous avons consulté des experts, dont la Dre Chan, qui connaissent mieux que nous le développement d’application et qui ont de l’expérience dans ce domaine. Nous avons aussi utilisé des outils que nous connaissions déjà, comme Google Forms, afin d’avoir une bonne base pour commencer notre travail. C’était un moyen simple d’avoir accès au contenu à partir d’un téléphone, un peu comme on le ferait avec une application.

Dre Guylaine Lefebvre [00:09:19] Merci. C’est tout à fait logique. Teresa, avez-vous des conseils précis sur des outils ou des ressources mobiles que les gens pourraient utiliser?

Dre Teresa Chan [00:09:30] Oui. Une chose importante est de savoir ce qui fonctionne pour les gens qu’on souhaite aider, et de comprendre qui ils sont et ce qu’ils aiment. Par exemple, si je souhaitais offrir un produit à des gens d’une autre génération, disons les baby-boomers, j’utiliserais un mode de communication comme LinkedIn ou les courriels. Au contraire, pour rejoindre les gens de l’âge de Monika, il faut choisir une plateforme qui fonctionne sur un téléphone mobile. Dans le cas contraire, notre public ne sera jamais assez grand. Un blogue ne suffit pas, et c’est pourquoi nous avons diversifié nos plateformes, notamment par les balados. En fin de compte, je pense que tout dépend du travail d’équipe. Comme Monika l’a dit plus tôt, une fois qu’on a notre idée, il faut se lancer et trouver une équipe qui est prête à s’en occuper, et pas seulement une personne qui peut tout faire. Une personne seule n’aura jamais autant de succès qu’une équipe formée de personnes aux expertises variées. Dans notre cas, nous avons fait appel à Yusuf Yilmaz, Ph. D., que vous connaissez probablement. Il est une véritable référence en matière de formation en informatique et il a accepté de nous offrir ses conseils et son aide. Nous avons aussi eu la chance d’obtenir une subvention pour développer l’application. Ce sont ces éléments réunis qui nous ont permis de former l’équipe parfaite et de concrétiser notre objectif. La leçon à retenir est qu’il n’est pas nécessaire d’avoir toutes les compétences requises pour réaliser un projet de nature technologique. Ce qu’il faut, c’est de mettre sur pied une équipe comme celle des Avengers. Pas besoin d’être Superman. Superman est très impressionnant, mais lui aussi a sa faiblesse, la kryptonite. Même lui est plus fort lorsqu’il fait partie de la Ligue des justiciers. C’est un peu ce que je tente d’expliquer. Il faut réfléchir à des moyens de faire participer différentes personnes.

Dre Guylaine Lefebvre [00:11:30] C’est une explication très imagée. J’adore ça! Merci. Monika, ma dernière question est pour vous. Vous êtes une résidente de première année en médecine d’urgence. Vous serez ensuite médecin membre du personnel, puis membre du corps professoral. Quel rôle croyez-vous que les applications joueront dans votre futur? Je sais qu’il n’est pas facile de prévoir l’avenir, et qu’il y aura sûrement des technologies encore plus évoluées que les applications modernes. Cependant, comment les voyez-vous influencer votre apprentissage continu à titre de médecin?

Dre Monika Bilic [00:12:00] Je crois que l’on peut prévoir différents rôles pour les applications dans le contexte des études ou pendant les quarts de travail. Comme nous l’avons dit, elles sont d’excellentes références. Avant, il fallait utiliser un manuel complet pour la médecine interne, un autre pour la pédiatrie, encore un autre pour la chirurgie, et ainsi de suite. Nos uniformes n’ont pas assez de poches pour transporter tout cela! Maintenant, nous avons toujours notre téléphone ou un autre appareil mobile avec nous. Grâce aux applications, plus besoin de parcourir un livre entier pour trouver de l’information concise, précise, validée et fondée sur des données probantes. Je pense que c’est un phénomène majeur et qui gagne en popularité. Je pense aussi que créer une application est de plus en plus facile et accessible pour des gens comme nous qui, il y a quelques années, ne connaissaient rien au développement d’applications. Il y a de plus en plus de créateurs, et les applications sont utilisées pour des objectifs encore plus variés que ce que nous avons abordé. D’ailleurs, on s’en sert aussi dans d’autres domaines médicaux. Elles sont également utilisées pour faire des évaluations et recueillir de la rétroaction. Puisque nous avons tous des appareils mobiles sur nous et que les applications ont un grand potentiel d’utilisations variées, je crois qu’elles sont là pour de bon et qu’elles auront divers usages en médecine.

Dre Guylaine Lefebvre [00:13:28] Merci, Monika. Avez-vous quelque chose à ajouter, Teresa?

Dre Teresa Chan [00:13:34] Je crois qu’une personne novatrice qui souhaite apporter sa contribution peut s’y prendre de nombreuses façons. Il faut simplement se retrousser les manches comme nous l’avons fait. Heureusement, la formation est de plus en plus accessible, et j’aimerais prendre quelques minutes pour parler des démarches locales du personnel de l’Université McMaster. L’université offre notamment des programmes de formation asynchrone pour aider les médecins à joindre une entreprise en démarrage, ou même à se lancer dans la création d’une entreprise. Je vous recommande d’ailleurs de jeter un coup d’œil au programme Health Ventures (entreprendre en santé), qui permet aussi de se perfectionner en faisant une maîtrise en administration des affaires. Bien des gens ont des projets comme ça, à temps perdu, qui leur permettent d’explorer une passion. Cependant, la passion ne suffit pas toujours. J’invite les gens à songer à s’inscrire à un programme de formation continue qui leur permettrait d’acquérir des compétences et de se spécialiser dans un domaine qui les passionne, comme ils le feraient en se spécialisant dans une branche de la médecine. Je devais saisir l’occasion de parler de ces programmes, car j’occupe le poste de doyenne associée de la formation professionnelle continue. Je suis convaincue que nous pouvons tous apprendre de nouvelles compétences, qu’il s’agisse de créer une application, de faire un plan d’affaires ou de donner une présentation convaincante pour vendre un produit. Il existe des tonnes d’histoire de réussite comme la nôtre, et je suis certaine que vous allez en découvrir quelques-unes pendant cette série. Guylaine, gardez-nous au courant! Je pense que ce sera très intéressant et que vous allez entendre des récits inspirants de nos collègues et de leurs projets novateurs.

Dre Guylaine Lefebvre [00:15:08] Merci à vous deux. Pour ce premier de nos balados sur l’innovation, vous nous avez vraiment motivés et stimulés. J’en ai tiré de précieuses leçons, et j’espère que nos auditeurs aussi. Merci.

Voici quelques points que je retiens de notre discussion. Il faut rester ouverts aux nouvelles méthodes d’apprentissage, car il y a différents types d’apprenants et le fait d’adapter notre méthode à un public permet de rendre la formation plus accessible et agréable. Il faut aussi que les choses soient simples. Il n’est pas nécessaire d’offrir une plateforme qui fait tout, pour tout le monde. J’ai appris, évidemment, qu’un contenu central peut être réutilisé de différentes façons afin d’être présenté au bon moment aux personnes qui en ont besoin. La participation de Monika était essentielle, puisqu’elle représente les utilisateurs cibles de l’application, les résidents. Vous avez été très claires sur ce point. De plus, vous aviez accès, Teresa, à des experts universitaires. Cela démontre qu’il est important de demander de l’aide et des conseils à des personnes qui s’y connaissent. C’est un domaine où toute une équipe est nécessaire pour donner vie à une idée nouvelle.

Merci beaucoup d’avoir écouté cette émission. J’espère qu’elle vous a plu. Soyez des nôtres pour le deuxième épisode sur les applications où notre invité, le Dr Jonathan, nous parlera de Surgery 101, une application déjà fort populaire. Si vous avez aimé l’épisode, n’hésitez pas à nous donner une note sur Apple Podcast ou sur l’application de diffusion que vous utilisez. Abonnez-vous pour être avisé de la sortie des prochains épisodes. Enfin, n’oubliez pas de partager cet épisode sur les réseaux sociaux ou de l’envoyer à vos connaissances qui aimeraient en savoir davantage sur le développement d’applications. Je m’appelle Guylaine Lefebvre et vous avez écouté Actualités en spécialité.


* Actualités en spécialité est réalisé par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada avec le soutien non financier de RBC Services aux professionnels de la santé. Banque Royale du Canada fait la promotion de ce balado avec l’autorisation du Collège royal. © Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada, 2022. Tous droits réservés.

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