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Huit conseils pour aider les petites entreprises à réduire leurs frais bancaires

Par Tracey Sandilands

Publié le juin 13, 2017 • 4 min de lecture

Pour tout propriétaire de petite entreprise, le démarrage des activités et l’ouverture d’un compte bancaire sont des étapes palpitantes, particulièrement lorsque les revenus commencent à entrer. Suivez ces huit conseils utiles et tirez le meilleur parti des services offerts par votre banque, tout en maximisant vos économies à mesure que votre entreprise prendra de l’expansion.
  • Ouvrez un compte bancaire distinct pour vos besoins d’affaires. Les opérations commerciales peuvent être difficiles à distinguer des opérations personnelles si vous vous servez de votre compte de chèques personnel pour effectuer vos opérations commerciales. Simplifiez votre comptabilité, réduisez vos frais bancaires et effectuez un meilleur suivi de vos dépenses d’affaires en ouvrant un compte d’entreprise.
  • Choisissez un compte d’entreprise offrant des limites d’opérations souples et des frais modiques déductibles du revenu imposable et qui sont facturés à l’utilisation. Renseignez-vous pour savoir si vous devez maintenir un solde minimum pour éviter des frais. Dans l’affirmative, conservez ce montant dans votre compte.
  • Choisissez les relevés électroniques avec les options en ligne offertes par votre banque. Il s’agit d’un choix écologique qui peut vous faire économiser si votre banque facture les relevés papier. Certaines banques offrent même des mesures financières incitatives pour passer au paiement électronique de factures.
  • Réglez vos factures électroniquement. Selon Statistique Canada, 68,3 % des Canadiens utilisent maintenant les services bancaires électroniques pour effectuer leurs opérations. Cette tendance grandissante peut vous faire gagner du temps et vous libérer des tracas associés aux factures manuelles. En configurant d’avance le paiement électronique des factures, vous pouvez vous assurer de respecter les échéances, ce qui contribue à établir la cote de solvabilité et la réputation de votre entreprise.
  • Profitez au maximum des rabais pour paiement hâtif en planifiant les paiements le plus près possible de leur date d’exigibilité. Tirez pleinement parti des rabais pour les paiements effectués à temps ou hâtifs tout en surveillant vos liquidités.
  • Offrez à vos clients une option de paiement électronique. Les paiements électroniques accélèrent le processus de rapprochement, vous font réaliser des économies et vous permettent de recevoir (et d’utiliser) les fonds plus rapidement.
  • Établissez des alertes pour vous assurer que vous disposez des fonds dans votre compte à la date d’exigibilité de vos paiements et envisagez de vous doter d’une protection contre les découverts. La surveillance la plus rigoureuse ne vous met pas à l’abri d’un mauvais concours de circonstances. Par exemple, lorsqu’un client prend plus de temps que prévu pour payer ses factures, vos factures doivent quand même être payées à temps.
  • Procurez-vous une carte de crédit d’entreprise pour vous aider à assurer un meilleur suivi de vos dépenses d’affaires, tout en obtenant des points ou des remises en argent sur vos achats. Payez la totalité de votre solde de carte de crédit en une semaine ou deux pour éviter d’accumuler des intérêts. Profitez des programmes de récompenses associés à la carte de crédit que vous avez choisie. Vous amasserez des points qui peuvent être utilisés pour régler le solde de votre carte de crédit ou échangés contre des milles aériens.
  En comparant votre budget et votre compte bancaire chaque semaine et en vérifiant votre solde chaque jour afin d’éviter de retirer plus de fonds que nécessaire, vous pourrez consacrer plus de temps à exploiter votre entreprise et moins de temps et d’argent à vous occuper de vos affaires bancaires. Et si vous disposez de fonds excédentaires, envisagez de les faire fructifier en ouvrant un compte d’épargne pour la petite entreprise ou en investissant dans des CPG.

Le présent article vise à offrir des renseignements généraux seulement et n’a pas pour objet de fournir des conseils juridiques ou financiers, ni d’autres conseils professionnels. Veuillez consulter un conseiller professionnel en ce qui concerne votre situation particulière. Les renseignements présentés sont réputés être factuels et à jour, mais nous ne garantissons pas leur exactitude et ils ne doivent pas être considérés comme une analyse exhaustive des sujets abordés. Les opinions exprimées reflètent le jugement des auteurs à la date de publication et peuvent changer. La Banque Royale du Canada et ses entités ne font pas la promotion, ni explicitement ni implicitement, des conseils, des avis, des renseignements, des produits ou des services de tiers.

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