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L’amour et l’argent – Cinq erreurs à éviter par les nouveaux mariés

Par Andrew Seale

Publié le juillet 12, 2016 • 3 min de lecture

Selon ce même sondage, près de 37 % des répondants se sont déjà disputés avec leur conjoint à propos de l’argent. La situation financière de chaque couple est unique, mais il y a bien des erreurs que les nouveaux conjoints sont portés à commettre. Pour vous aider à démarrer votre mariage du bon pied sur le plan financier, voici cinq erreurs à éviter :

Oublier d’écrire ses vœux financiers

N’attendez pas que la lune de miel soit terminée pour parler finances. Profitez de l’occasion pour fixer des objectifs financiers, conjoints et individuels, et déterminer un échéancier pour leur réalisation. Créez une feuille de calcul ou utilisez un outil en ligne pour les éléments suivants : revenus, dettes, avoirs et dépenses personnelles. N’oubliez pas de choisir une stratégie fiscale. Les couples mariés bénéficient de différents avantages au Canada, des crédits d’impôt aux comptes à l’abri de l’impôt. Puis, fixez une date une fois par mois pour examiner vos finances et vous assurer que vous êtessur la bonne voie.

Dissimuler son bagage financier

L’infidélité financière peut avoir des conséquences à long terme sur un mariage. Selon Money Magazine, 22 % des couples mariés affirment cacher des dépenses à leur conjoint. Peut-être craignent-ils d’être jugés pour leur mauvaise gestion de l’argent ou peut-être préfèrent-ils que leur conjoint ne sache pas qu’ils collectionnent des objets souvenirs du groupe New Kids on the Block. Quoi qu’il en soit, les secrets financiers, qu’il s’agisse de dettes ou d’habitudes de dépenses, peuvent être une source de tension inutile. Soyez honnête et souvenez-vous que votre mariage est en quelque sorte un partenariat.

Unir ses finances

De nombreux couples croient qu’en convolant en justes noces, ils doivent unir leurs comptes, mais ne soyez pas trop pressé à le faire. Essayez différents scénarios. Si les conjoints ont chacun une source de revenu, le couple peut opter pour divers véhicules d’épargne et un compte conjoint dans lequel chacun verse un certain pourcentage. L’autonomie est une bonne façon de profiter des incitatifs à l’épargne et de s’astreindre à un budget. Apportez les modifications nécessaires au fil des événements et faites des virements, au besoin.

Tout déléguer à un seul conjoint

Si l’un des conjoints est plus doué pour les finances, l’autre conjoint pourrait s’en remettre un peu trop à lui. Il peut être lourd et stressant pour un seul conjoint de prendre en mains toutes les finances du couple et l’entente dans le couple pourrait en souffrir. En laissant un seul conjoint prendre les décisions financières, l’autre conjoint pourrait être laissé dans l’ignorance. Les deux conjoints devraient participer autant l’un que l’autre aux décisions financières.

Demander de l’aide quand vous en avez besoin

Un mariage, c’est un changement important. Une certaine période d’ajustement pourrait être nécessaire. Avant le mariage, le rôle des demoiselles et des garçons d’honneur est d’apporter un soutien moral. Après le mariage, le couple pourrait avoir besoin d’un tout autre type d’aide. Le mariage constitue un moment de transition propice à une rencontre avec un conseiller financier. Souvent, l’aide objective d’un tiers, en plus d’être utile pour l’établissement d’objectifs communs, est indispensable pour maintenir l’équilibre dans la prise de décisions financières au sein du couple.Savoir quand demander de l’aide peut être la clé d’un mariage réussi. Tout partenariat a besoin de soutien, après tout.

Le présent article vise à offrir des renseignements généraux seulement et n’a pas pour objet de fournir des conseils juridiques ou financiers, ni d’autres conseils professionnels. Veuillez consulter un conseiller professionnel en ce qui concerne votre situation particulière. Les renseignements présentés sont réputés être factuels et à jour, mais nous ne garantissons pas leur exactitude et ils ne doivent pas être considérés comme une analyse exhaustive des sujets abordés. Les opinions exprimées reflètent le jugement des auteurs à la date de publication et peuvent changer. La Banque Royale du Canada et ses entités ne font pas la promotion, ni explicitement ni implicitement, des conseils, des avis, des renseignements, des produits ou des services de tiers.

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