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RBC
Cynthia Appiah, athlète Olympique RBC, discute de bobsleigh, de mise en forme et de famille.

Cynthia Appiah ne cherchait pas à devenir bobeuse olympique pour Équipe Canada. En fait, elle a l’impression d’être tombée sur ce sport « par hasard ».

« J’ai découvert les sports compétitifs en pratiquant des sports récréatifs, se rappelle-t-elle. C’est en participant à un programme gratuit destiné aux jeunes de quartiers défavorisés que j’ai découvert le baseball.

Cynthia Appiah

Je n’étais pas douée, mais c’était un sport amusant qui me poussait à relever des défis. »

La première incursion de Cynthia dans le milieu du sport professionnel a eu lieu lorsqu’elle a commencé à participer à des événements d’athlétisme. Bien que son souhait initial était d’être une sprinteuse, elle a opté pour le lancer du poids, une discipline où elle réussissait bien.

« Cela m’a donné l’occasion d’essayer quelque chose de nouveau et de différent qui me permettrait d’être active, de tisser des liens avec d’autres athlètes et de nouer des amitiés. »

 

Qu’est-ce qui pousse quelqu’un à passer du lancer du poids au bobsleigh ? Pour Cynthia, c’était simplement un désir d’essayer de nouvelles choses.

« Pendant des essais à l’été 2010, j’ai ressenti le besoin de trouver une manière différente de faire du sport, sans qu’il s’agisse d’athlétisme », raconte Cynthia. « L’hiver suivant, poursuit-elle, j’ai été invitée dans un camp, où j’ai pu essayer le bobsleigh. En fait, j’étais assez nerveuse en y entrant !

Dès que je me suis installée, le stress s’est évaporé. Il y a eu un déclic dans ma tête et j’ai su que ce sport était fait pour moi. »

Le niveau supérieur

Animée par cette nouvelle passion, Cynthia s’est mise à s’entraîner dans le but de devenir une athlète olympique. Son entraînement avait lieu hors saison pendant l’été (5 jours par semaine, environ 4 heures par jour – elle mettait l’accent sur sa force, sa vitesse et son équilibre mental) et en saison (3 jours par semaine, 6 à 8 heures par jour en plus de 2 à 3 minutes de bobsleigh, ce qui exigeait 2 à 3 heures de préparation au préalable).

Elle ne tarde également pas à souligner que plusieurs personnes sont présentes derrière le bobsleigh pour l’aider à atteindre le niveau supérieur.

 

Cynthia Appiah, athlète Olympique RBC

 

« À la télévision, on ne voit que moi, et pas tous les autres qui me soutiennent : deux femmes qui polissent les patins ou le bobsleigh, l’équipe qui apporte mon bobsleigh, etc. Nous sommes là-dedans ensemble. »

Pour que la mise en forme demeure amusante

Il serait tentant de croire qu’en raison de son entraînement, Cynthia ne participe pas à des activités physiques pour le plaisir. C’est faux !

« Ironiquement, mon passe-temps de prédilection est le lancer du poids, qui est un sport d’été! », s’exclame-t-elle en riant. « C’est génial de retrouver un sport que j’aime. Comme je ne le pratique pas de façon compétitive, je suis en mesure de « désentraîner » mon cerveau et de l’apprécier davantage. »

Quel conseil donnerait-elle à un citoyen moyen qui ne cherche pas à se rendre aux Olympiques, mais qui aspire à un mode de vie globalement plus sain ?

« La meilleure façon de s’y mettre est d’aller à l’extérieur pour une promenade. C’est une activité qui nécessite très peu d’effort et aucun équipement. Sinon, essayez un sport récréatif qui est offert gratuitement près de chez vous. »

 

Cynthia Appiah, athlète Olympique RBC

 

« Repensez à quand vous étiez enfant et qu’on vous montrait un nouveau sport. Vous ne vous demandiez jamais si vous étiez capable de le faire – vous le faisiez, c’est tout ! C’est une excellente façon d’établir une nouvelle mentalité quant aux limites que nous nous imposons et à notre capacité d’être physiquement actif. »

De son côté, Cynthia attribue également en grande partie le mérite de son bien-être à sa famille.

« Pour moi, les liens familiaux sont ce qui importe le plus. C’est ce qui me permet de rester en contact avec la réalité. En tant qu’athlètes, nous vivons dans une bulle. Il faut pouvoir sortir de cette bulle de temps à autre pour se reposer et remettre les compteurs à zéro. »

« Le bien-être mental est un aspect essentiel du sport professionnel. Nous avons accès à des programmes qui nous apprennent à nous détendre mentalement et physiquement. »

Qu’en est-il du bien-être financier ?

Il est facile d’établir des parallèles entre le parcours de Cynthia en tant qu’athlète olympique RBC et le bien-être financier : les deux expériences consistent à établir un objectif, à faire preuve de détermination pour l’atteindre et à trouver le bon équilibre avec son équipe de soutien. Comme votre conseiller RBC, par exemple !

Ce premier pas est possiblement la leçon la plus importante à retenir ! Les économies ne se font pas par magie, tout comme les plans ne portent pas fruit immédiatement. Toutefois, si vous avez un objectif en tête, que vous élaborez un plan et que vous disposez du bon réseau de soutien, vous êtes en route vers le bien-être financier olympique !