Ils ne se connaissaient pas ; le camp a fait d’eux des frères et soeurs. C’est en ces termes que Dakota Adams-Beavereye, coordonnatrice des projets autochtones et culturels d’OUTSaskatoon, parle du camp OUT on the Land, qui en était cette année à sa sixième édition.
Durant une fin de semaine, des Autochtones de différentes générations s’identifiant comme bispirituels, queers autochtones ou transgenres ont passé du temps ensemble sur le territoire, celebrant des cérémonies en compagnie de gardiens des savoirs traditionnels.
« J’ai eu le sentiment d’être en contact non seulement avec mon identité, explique un member du groupe, mais aussi avec le territoire et avec ma grand-mère décédée, qui vivait le long d’une ligne de piégeage. J’ai très hâte de participer à la prochaine édition du camp. » « Il est très important que les jeunes bispirituels aient des occasions comme celle-là de prendre contact avec notre mère la Terre et de pouvoir célébrer des cérémonies inclusives », renchérit un autre participant.
Fierté RBC et les Royal Eagles sont deux groupesressources d’employés (GRE) qui, en harmonie avec l’engagement qu’a pris RBC envers la diversité et l’inclusion, épaulent leurs membres et leurs milieux. Ces deux dernières années, ils ont parrainé quatre participants au camp afin de manifester leur solidarité à titre d’employés de RBC. « C’est un privilège d’appuyer OUTSaskatoon et de jouer un rôle dans la création d’espaces où des jeunes peuvent prendre contact avec leur culture et être pleinement eux-mêmes », explique Nazaire Babych, coprésident régional de Fierté RBC.
« Chaque année, nos deux GRE font équipe pour aider les jeunes à payer l’inscription au camp, dit Matt McGregor, coprésident régional des Royal Eagles. Le sentiment d’appartenance est vital – c’est lui qui pousse chacun à server la communauté de son mieux. » Ce partenariat entre les deux groupes rend possibles de tells rassemblements culturels.
« Le pouvoir que nous avons ressenti au camp, ce lien étroit avec le territoire et ce sentiment d’en faire partie, je ne me rappelle pas avoir rien vécu de tel auparavant », dit Dakota Adams-Beavereye. Le premier jour, ils ne se connaissaient pas ; le camp a fait d’eux des frères et soeurs unis par d’intenses souvenirs. Arrivés seuls, ils ont noué de nouveaux liens dans le cadre naturel sécuritaire d’OUT on the Land.

Voyez ce que font RBC et les communautés autochtones pour apporter une contribution positive
Célébrons le patrimoine unique, les cultures diversifiées et les réalisations remarquables du peuple autochtone.
Un autre article de la série « Un chemin tracé » :
Le présent article vise à offrir des renseignements généraux seulement et n’a pas pour objet de fournir des conseils juridiques ou financiers, ni d’autres conseils professionnels. Veuillez consulter un conseiller professionnel en ce qui concerne votre situation particulière. Les renseignements présentés sont réputés être factuels et à jour, mais nous ne garantissons pas leur exactitude et ils ne doivent pas être considérés comme une analyse exhaustive des sujets abordés. Les opinions exprimées reflètent le jugement des auteurs à la date de publication et peuvent changer. La Banque Royale du Canada et ses entités ne font pas la promotion, ni explicitement ni implicitement, des conseils, des avis, des renseignements, des produits ou des services de tiers.